Insulter La religion est l’apostasie de l’islam. Il en va de même pour insulter le Coran ou le Messager (bénédiction et paix d’Allah soient sur lui): c’est l’apostasie de l’Islam, et kufr (incrédulité) après la foi – nous cherchons refuge auprès d’Allah. Mais cela ne signifie pas que la femme est divorcée (talaaq); ils devraient plutôt être séparés sans divorce. Ce ne peut pas être un divorce; elle devient plutôt interdite pour lui parce qu’elle est musulmane alors qu’il est kaafir, et elle reste interdite pour lui jusqu’à ce qu’il se repent. S’il se repent et que son ‘iddah n’est pas encore terminée, elle retourne vers lui sans avoir besoin de rien, c’est-à-dire s’il se repent et se retourne vers Allah, elle retourne vers lui. Mais si son ‘iddah est terminée et qu’il ne s’est pas repenti, alors elle peut épouser qui elle veut. C’est comme un divorce mais ce n’est pas un divorce (talaaq);c’est plutôt comme un divorce parce qu’Allah a interdit les femmes musulmanes aux hommes kaafir.
S’il se repent après la fin de l’iddah et qu’il veut (re) l’épouser, il n’y a rien de mal à cela, mais cela devrait être fait avec un nouveau contrat de mariage, afin d’être du bon côté et d’éviter un domaine concernant ce que les savants ont différé. Certains savants pensent qu’elle lui est permise sans nouveau contrat de mariage: si elle l’a choisi et n’a épousé personne d’autre après la fin de l’iddah, elle reste telle qu’elle était (c’est-à-dire toujours mariée). Cependant, la majorité dit que lorsque l’iddah se termine, elle devient irrévocablement divorcée de lui et devient un non-mahram pour lui, et elle ne peut devenir admissible pour lui qu’avec un nouveau contrat de mariage. Il est donc préférable et plus sûr de conclure un nouveau contrat de mariage. Cela s’applique si l’iddah a pris fin avant qu’il ne se repentisse. Mais s’il se repent avant la fin de l’iddah, alors elle est toujours sa femme,parce que le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a accepté les contrats de mariage des hommes qui sont devenus musulmans après que leurs femmes l’ont fait, avant la fin des iddahs des épouses. Citation de fin.
Shaykh ‘Abd al-‘Azeez ibn Baaz (qu’Allah lui fasse miséricorde)