Explication de la supplication : « Ô Dieu, je cherche refuge auprès de Toi contre une connaissance qui n’est pas bénéfique, un travail qui n’est pas élevé, un cœur qui n’est pas humble et une parole qui n’est pas entendue. »
“Oh mon Dieu, je cherche refuge auprès de Toi contre une connaissance qui n’est pas bénéfique, un travail qui n’est pas respecté, un cœur qui n’est pas humble et une parole qui n’est pas entendue.»([1]).
Cette supplication bénie cherche refuge contre quatre exigences importantes :
1- La connaissance ne sert à rien.
2- Une action qui n’est pas levée,
3- Et un cœur qui n’est pas humble,
4- Et une déclaration qui n’est pas entendue.
Certaines des significations de cette supplication ont été expliquées, telles que : (La connaissance ne sert à rien) et (Un cœur qui n’est pas humble), alors revenez-y sans qu’on vous le commande.
Sa parole : (Un acte qui n’est pas monté) : c’est-à-dire qu’il ne monte pas vers Dieu, Bienheureux et Très-Haut, et le fait qu’il ne monte pas signifie qu’il ne sera pas accepté ; Pour le perdre, les conditions d’acceptation et de réponse dont les plus grandes sont :
A- Sincérité.
B- Suivi.
C’est Dieu Tout-Puissant que les bonnes actions lui montent. Dieu Tout-Puissant a dit : « {.Les bonnes paroles lui montent et les bonnes actions l’exaltent.} ” ([2]).
Sa parole : (Et une parole qui n’est pas entendue) : La parole comprend : le souvenir, la supplication, et sa parole : (Elle n’est pas entendue) : c’est-à-dire qu’elle n’est pas répondue et n’est pas acceptée, donc sa décision est la décision de ne pas être entendu; Parce que Dieu Tout-Puissant est Celui qui entend, Celui qui élargit Son audition [ما في] Les cieux et[وما في] La Terre, parce que le Tout-Puissant ne l’entend pas, c’est-à-dire ne l’accepte pas. Parce qu’il n’a pas rempli les conditions pour répondre et accepter, comme mentionné précédemment.
Ces quatre excuses incluent leurs opposés, le succès dans la connaissance utile, les bonnes actions acceptables qui sont élevées vers Dieu, Bienheureux et Très-Haut, un cœur soumis au souvenir et à l’avertissement, et une parole acceptable qui est répondue et entendue.
([1](Rapporté par Ibn Hibban, 1/283, n° 83, Abu Ya’la, 5/232, Ahmad, 20/308, n° 13003, Ibn Abi Shaybah, 10/187, et authentifié par Al-Albani dans Al- Mawlaqeeq Al-Hasan, n° 83, et dans le Livre de la Connaissance d’Abu Khaythamah, p.
([2]) Sourate Fatir, verset : 10.